Caux – Croix Augé – Rue de l’Occitanie – Rue du Ceressou
Inscription :
Croix de
Pierre AUGE
« Les Amis du clocher
de Caux »
2013
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43°30’46.6″N 3°21’53.8″E
43.512952, 3.364950
Ou :
Caux – Croix de Mission – D30 Avenue de Neffiès – Chemin des Rompudes
En avril 2016, la croix n’avait pas encore été restaurée
Inscriptions :
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DOULEUR
FAITES AT…
ET VOYEZ
S’IL Y A UN…
De la croix de Mission signalée sur le plan cadastral napoléonien à l’angle du chemin de Neffiès à Caux et du chemin des Rompudes, il ne reste plus aujourd’hui que l’ancienne meule ayant servi de socle et le départ de la colonne cylindrique.
Son nom réveille le souvenir de ces missions évangéliques destinées à restaurer la pratique religieuse dans les paroisses françaises au lendemain de la tourmente révolutionnaire, et c’est sans doute sous l’apostolat de Mgr Marie-Nicolas Fournier, évêque de Montpellier de 1806 à 1834, que cette croix fut érigée à l’entrée du village. Une plaque dans le calvaire de Caux mentionne une mission en 1869 qui ne peut être celle qui nous intéresse puisque le cadastre napoléonien date de 1827.Source : Monique Beugnon, Caux cinq promenades sur les chemins de croix, Amis du Clocher et du Patrimoine de Caux, 2009
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43°30’39.7″N 3°21’38.8″E
43.511021, 3.360767
Ou :
Caux – Chemin des Barrières – Chemin de Peiro Ficado
Inscription :
1911
Les vestiges de la croix des Barrières se trouvent au croisement du chemin de Peiro-Ficado et du chemin montant vers le domaine des Barrières, entourée d’un cyprès et de quelques arbustes.
Qu’en reste-t-il ? Un beau socle de basalte, rond et façonné. Une stèle de pierre blanche aux arêtes arrondies à l’avant portant la date gravée de 1911 soulignée d’une accolade. Quelques centimètres d’une tige plate en fer.
En dépit de la date gravée, nous savons que le monument, la base peut-être, est plus ancien puisqu’il est signalé sur le plan cadastral napoléonien de 1827. Le chemin de Peiro-ficado s’appelait alors chemin de Fontès à Caux dont la croix des Barrières était un jalon.Source : Monique Beugnon, Caux cinq promenades sur les chemins de croix, Amis du Clocher et du Patrimoine de Caux, 2009
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43°30’56.7″N 3°22’10.7″E
43.515751, 3.369628
Ou :
Caux – Croix de Guiraudou ou de Pierre Nicolas – D30 Route de Nizas – Chemin des Causses
Inscriptions :
IHSM
PIERRE
NICOLAS
1651
En sortant du village en direction de Nizas (D 30 de Magalas à Villeveyrac), la croix se dresse à droite de la route lorsqu’on arrive au sommet de la première côte. Plantée au coin d’une vigne, au croisement du chemin de Lavade […].
Ajusté sur le roc, un bloc de pierre rectangulaire forme la base du monument. En son milieu s’élève la croix dont le montant de base carrée s’allège ensuite en octogone. Les bras sont taillés en forme de trapèze terminés, comme le montant, par une boule aplatie, décorative. La traverse porte, gravée dans la pierre, l’inscription IHSM (abbréviation de Jésus Marie) surmontée d’une croix. L’ensemble, tout en calcaire, se dresse entre ciel et terre sur un fond de chênes verts. Il s’en dégage une impression de puissance.
Sur la base carrée du montant on peut lire une inscription gravée des plus importantes :
PIERRE / NICOLAS / 1651.
Cette date et le tirant métallique qui soutient le croisillon induisent en effet l’histoire de la croix. Construite avant la Révolution, elle a subi, comme ses consoeurs, les avatars de l’An II. Abattue, cassée en deux endroits, sous les bras et au bas du fût, mais proprement pourrait-on dire, elle s’est vue intégralement et solidement reconstituée après la tourmente. Elle est ainsi la plus ancienne croix de Caux […].
Sur les cartes IGN, elle porte le nom de Croix de Guiraudou. Nous lui avons préféré celui de son dédicataire afin d’éviter toute confusion avec la croix du domaine de Guiraudou. La famille de Pierre Nicolas (décédé à Caux en 1677 à l’âge de 85 ans) est attestée au village jusqu’à la fin du XVIIème siècle.Source : Monique Beugnon, Caux cinq promenades sur les chemins de croix, Amis du Clocher et du Patrimoine de Caux, 2009
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43°30’20.0″N 3°22’41.5″E
43.505552, 3.378190
Ou :
Caux – Croix de Mission – D30 chemin de Néfiès – Chemin des Rompudes
Inscription :
.NRI
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DOULEUR
FAITES A…..
ET VOYEZ
S’IL Y A …
En mai 2013, seul le socle (une roue de meule) éait encore présent.
De la croix de Mission signalée sur le plan cadastral napoléonien à l’angle du chemin de Neffiès à Caux et du chemin des Rompudes, il ne reste plus aujourd’hui que l’ancienne meule ayant servi de socle et le départ de la colonne cylindrique. Son nom réveille le souvenir de ces missions évangéliques destinées à restaurer la pratique religieuse dans les paroisses françaises au lendemain de la tourmente révolutionnaire, et c’est sans doute sous l’apostolat de Mgr Marie-Nicolas Fournier, évêque de Montpellier de 1806 à 1834, que cette croix fut érigée à l’entrée du village. Une plaque dans le calvaire de Caux mentionne une mission en 1869 qui ne peut être celle qui nous intéresse puisque le cadastre napoléonien date de 1827.
Source : Monique Beugnon, Caux cinq promenades sur les chemins de croix, Amis du Clocher et du Patrimoine de Caux, 2009
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Ou :
Caux – Croix des Crouzals – Chemin de Daurion
Inscription :
L AN
1837
P PASCAL
Cette croix qui tire son nom du tènement des Crouzals se dresse à la pointe d’une vigne délimitée par le chemin de Daurion et un chemin de terre grimpant vers Sallèles. Elle se compose d’un beau socle en pierre dorée, carré, terminé par un épais plateau au bord arrondi. Au-dessus s’élève une croix de pierre. Le fût carré à la base se continue en octogone comme les bras de la croix. Au centre, un crucifix taillé en relief, surmonté d’une couronne taillée de même. Elle symbolise la couronne d’épines. Ces détails expliquent le nom de calvaire que l’on donne à ce monument. Sur la tranche des bras, profitant de l’octogone, le tailleur de pierre a ciselé une croix solaire. Cet ensemble, comme celui de Loupio, symbolise à la fois la mort (crucifix et couronne) et la résurrection (croix solaire) du Christ. A la base de la croix, une inscription est aujourd’hui en partie illisible. On parvient seulement à déchiffrer une date, L’AN 1837, et un nom, P. PASCAL. Le 4 juillet 2005, une épareuse qui nettoyait les bords du chemin renverse, en manœuvrant, la croix des Crouzals. Un témoin alerte la mairie qui, avec l’association des Amis du Clocher, organise aussitôt la mise à l’abri des vestiges et l’expertise par Bruno Mendola, tailleur de pierre. Il rebâtira le calvaire remis en place en août 2005. Grâce à la réaction rapide des uns et au savoir-faire d’un artisan de talent, la superbe croix des Crouzals a retrouvé tout son éclat. Dans les année 1940, elle avait déjà subi un outrage. Un employé de mairie l’avait alors restaurée avec les moyens du bord, ce qui explique la présence d’une pierre en basalte dans un calvaire en calcaire coquillier.
Source : Monique Beugnon, Caux cinq promenades sur les chemins de croix, Amis du Clocher et du Patrimoine de Caux, 2009
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Ou :
Caux – Croix de de Pierre Nicolas dite de Guiraudou – Route de Nizas D30
Inscriptions :
IHSM
PIERRE
NICOLAS
1651
En sortant du village en direction de Nizas (D 30 de Magalas à Villeveyrac), la croix se dresse à droite de la route lorsqu’on arrive au sommet de la première côte. Plantée au coin d’une vigne, au croisement du chemin de Lavade, elle surprend par son aspect monumental. Comme une vigie, elle annonce l’arrivée à Caux. Ajusté sur le roc, un bloc de pierre rectangulaire forme la base du monument. En son milieu s’élève la croix dont le montant de base carrée s’allège ensuite en octogone. Les bras sont taillés en forme de trapèze terminés, comme le montant, par une boule aplatie, décorative. La traverse porte, gravée dans la pierre, l’inscription IHSM (abbréviation de Jésus Marie) surmontée d’une croix. L’ensemble, tout en calcaire, se dresse entre ciel et terre sur un fond de chênes verts. Il s’en dégage une impression de puissance. Sur la base carrée du montant on peut lire une inscription gravée des plus importantes : PIERRE / NICOLAS / 1651. Cette date et le tirant métallique qui soutient le croisillon induisent en effet l’histoire de la croix. Construite avant la Révolution, elle a subi, comme ses consœurs, les avatars de l’An II. Abattue, cassée en deux endroits, sous les bras et au bas du fût, mais proprement pourrait-on dire, elle s’est vue intégralement et solidement reconstituée après la tourmente. Elle est ainsi la plus ancienne croix de Caux et mérite, pas son ancienneté, la qualité et l’originalité de l’ouvrage, notre protection, je dirais même notre vénération. Sur les cartes IGN, elle porte le nom de Croix de Guiraudou. Nous lui avons préféré celui de son dédicataire afin d’éviter toute confusion avec la croix du domaine de Guiraudou. La famille de Pierre Nicolas (décédé à Caux en 1677 à l’âge de 85 ans) est attestée au village jusqu’à la fin du XVIIème siècle
Monique Beugnon, Caux cinq promenades sur les chemins de croix, Amis du Clocher et du Patrimoine de Caux, 2009
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ou
Caux – Croix des Barrières – chemin de Peiro-Ficado
Inscription :
1911
les vestiges de la croix des Barrières se trouvent au croisement du chemin de Peiro-Ficado et du chemin montant vers le domaine des Barrières, entourée d’un cyprès et de quelques arbustes. Qu’en reste-t-il ? Un beau socle de basalte, rond et façonné. Une stèle de pierre blanche aux arêtes arrondies à l’avant portant la date gravée de 1911 soulignée d’une accolade. Quelques centimètres d’une tige plate en fer. En dépit de la date gravée, nous savons que le monument, la base peut-être, est plus ancien puisqu’il est signalé sur le plan cadastral napoléonien de 1827. Le chemin de Peiro-ficado s’appelait alors chemin de Fontès à Caux dont la croix des Barrières était un jalon. L’actuelle route de Fontès était seulement chemin de Tibéret à Caux. Les deux voies, Peyre Ficado et Tibéret, se rejoignaient en un point signalé par une croix approximativement à l’emplace de la gare. Cette dernière croix a disparu en 1871 avec la construction du chemin de fer.
Source : Monique Beugnon, Caux cinq promenades sur les chemins de croix, Amis du Clocher et du Patrimoine de Caux, 2009
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